Codex Aléra (les 5 premiers tomes)

Tout un chacun a ses petites habitudes lectures. De ceux qui ne lisent pratiquement jamais à ceux qu’il faut menacer pour les arracher à un livre, ce qui dicte le choix, le moment, le lieu ou la manière de lire nous est propre. L’une des miennes, j’en ai déjà parlé, est que lorsque je commence une série, je ne m’arrête pas avant d’avoir lu tous les tomes publiés. Mon budget a intérêt à suivre! Lorsque je me suis procuré le Codex Aléra de Jim Butcher sur Amazon, je n’avais vu que 4 tomes et les résumés me laissaient à penser qu’il n’y en avait pas davantage. Avant de commencer la lecture, j’ai fait une recherche un peu plus poussée et j’ai découvert que la série en faisait en fait 6. Arg! Le 6e et dernier ne sortira en français que d’en environ 2 mois. Le 5e n’était pas en numérique, mauvais pour moi ça… Tant pis, je lirais ce que je pourrais! Alors que je lisais le tome 4, j’ai songé à aller faire une énième vérification pour voir si la suite ne pourrait pas être disponible… Et elle l’était! Bref, en attendant la conclusion, voyons se raconte le Codex Aléra.

Synopsis tome 1 : Les Furies de Calderon

À divers degrés, tous les habitants d’Aléra manient une ou plusieurs furies, des forces élémentaires de terre, d’air, d’eau, de feu, de bois et de métal. Leur civilisation repose sur elles. Ils ont repoussé les peuplades barbares grâce à elle. Tous en maîtrisent au moins une, sauf Tavi. Pourtant, quand une petite décision anodine prend de grandes proportions, le sort de sa vallée et du royaume pourrait reposer sur ses épaules et dépendre de son ingéniosité.

Synopsis tome 2 : La Furie de l’Academ

Tavi à réaliser son rêve, il est entré à l’Académie. S’il ne le regrette pas, ça ne passe pas comme il l’aurait cru. Deux ans se sont passés. Il se prépare à passer ses examens finaux. Évidemment, se contenter de ses petits tracas d’étudiant et du manque de sommeil n’aurait pas été suffisant! Dans la forêt de cire, il a réveillé une menace. Sur la côte, de mystérieuses tempêtes épuisent le Premier Duc. Entre trahisons et tentatives d’assassinat, la stabilité du royaume est menacée. Tavi doit une fois de plus sauver la situation.

Synopsis tome 3 : La Furie du Curseur

Une nouvelle légion, l’aléréenne, a été formée. Constituée d’éléments venus des 4 coins de l’Aléra, elle était destinée à être neutre et mobile. Sur papier. Dans un monde idéal. En pratique, c’est un nid à espion idéal. Le Premier Duc y envoie le sien, Tavi. Sous une fausse identité, il intègre un rang d’officier, lui qui n’a jamais fait son service. Ç’aurait dû être une mission simple. Ça l’aurait été, si Kalarus n’avait pas déclenché une rébellion. Pour se faire, il s’est allié aux Canims. Sans songer qu’ils pourraient le trahir. La seule à pouvoir se dresser face à cette invasion est la légion inexpérimentée de Tavi.

Synopsis tome 4 : La Furie du capitaine

Durant 2 ans, Tavi, capitaine de sa légion, a tenu tête aux Canims. Il faut en finir. Toutes les ressources sont nécessaires afin de contrer la rébellion de Kalarus. Certains y voient une occasion politique. Une occasion qui ne doit pas être gâchée par un petit capitaine… qui pourrait être plus qu’il n’y paraît. Alors que Tavi entrevoit à la fois un terrain d’entente avec les Canims et la nécessité de s’allier avec eux pour survivre, d’autres préféreraient l’éliminer, lui.

Synopsis tome 5 : La Furie du Princeps

Gaius Octavien, Princeps d’Aléra, héritier du trône. Tavi est désormais reconnu sous sa véritable identité en tant que fils légitime de Septimus. Rien n’est simple pour autant. Son titre a fait de lui une cible. S’il commence à utiliser les furies, il n’en possède aucune. Il est en danger. S’il ne veut pas finir comme son père, il a besoin de temps. Il règle plusieurs questions en même temps en raccompagnant les Canims chez eux avec ses hommes et une autre légion. Ce qu’il ne savait pas c’est que la situation est encore pire qu’il ne l’avait craint. Les vordes ont presque détruit Canea et s’attaquent à l’Aléra.

 

Sur des blogs ou des sites consacrés aux livres, on retrouve la plupart du temps ce que je refuse de faire ici, une note. Un simple petit chiffre qui dit tout… et ne dit rien. Oui bien sûr, il donne une appréciation sur laquelle se référer. Mais, à quel moment un excellent livre devient-il un coup de cœur? Un livre auquel on a accroché, qu’on a dévoré sans pouvoir s’arrêter était-il nécessairement meilleur qu’un autre? Où est la ligne? Cette notion est plus subjective. Pourquoi je raconte tout cela? C’est que je me suis posé cette question en lisant le Codex Aléra de Jim Butcher. Pour être honnête, j’ai trouvé cette série excellente. C’est bien écrit. L’intrigue est bien conçue. Les mensonges, les trahisons, les complots, l’action sont bien dosés pour en faire un tout cohérent. Non, en fait, j’ai peu de choses négatives à dire. Peut-être un peu trop de batailles à mon goût, un personnage à lequel j’aurais donné quelques baffes et quelques rares passages où il y avait une introspection à un moment totalement inapproprié, mais dans l’ensemble de l’œuvre ce ne sont vraiment que des détails. Pourtant… Même s’il rivalise avec mes préférés, il n’y avait pas ce petit quelque chose qui en aurait fait l’un de mes coups de cœur. Je ne sais toujours pas pourquoi… Si vous avez envie de découvrir les ravages de l’ambition dans un monde où tous ne sont pas égaux, les grandes choses que peuvent accomplir les petites décisions, les ressources de l’ingéniosité et comment peut renaître l’espoir, plongez-vous dans le Codex Aléra.


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